1.2.2024
• Les feuilles des arbres empêchent les rayons du soleil de passer et projettent de l’ombre sur le sol et les surfaces environnantes : rues, bâtiments etc.
• L’arbre rafraîchit l’air ambiant par évapo-transpiration : il prélève de l’eau dans le sol et la rejette dans l’air sous forme de vapeur d’eau.
• Bon à savoir : un arbre sobre en eau n’est pas forcément le plus efficace pour rafraî- chir car ses stomates – les petites ouvertures rétractables sous les feuilles à travers lesquelles s’effectue la transpiration – se ferment sous l’effet des fortes chaleurs pour éviter une perte en eau trop impor- tante. L’effet climatiseur de l’arbre est par conséquent limité.
• Autrement dit, il ne faut pas se priver des bienfaits des arbres « classiques » aux larges feuilles des zones tempérées, tels que les érables et les chênes. On choisira l’essence la mieux adaptée à sa fonction et on diversifiera le type de plantation.
• Lorsque la quantité d’eau transpirée par une plante est supérieure à la quantité qu’elle absorbe, on parle de stress hydrique. Si un arbre est privé d’une ressource en eau suffisante, il ne peut plus effectuer correctement la photosynthèse ni refaire ses réserves pour l’année suivante.
• Affaibli, ses défenses immunitaires sont moins efficaces contre les ravageurs notamment. Il risque ainsi de dépérir, voire de mourir, même plusieurs années plus tard. L’arrosage des arbres, notamment les jeunes plantations, est donc primordial pour garantir leur survie et bénéficier de leurs bienfaits.
Il faut des arbres fonctionnels, au feuillage dense et en bonne santé. La présence d’arbres matures est un des moyens les plus efficaces pour réduire le phénomène d’îlots de chaleur urbains.
Comment ça marche ?
• Les feuilles des arbres empêchent les rayons du soleil de passer et projettent de l’ombre sur le sol et les surfaces environnantes : rues, bâtiments etc.
• L’arbre rafraîchit l’air ambiant par évapo-transpiration : il prélève de l’eau dans le sol et la rejette dans l’air sous forme de vapeur d’eau.
À chaque fonction son type de plantation
• Bon à savoir : un arbre sobre en eau n’est pas forcément le plus efficace pour rafraî- chir car ses stomates – les petites ouvertures rétractables sous les feuilles à travers lesquelles s’effectue la transpiration – se ferment sous l’effet des fortes chaleurs pour éviter une perte en eau trop impor- tante. L’effet climatiseur de l’arbre est par conséquent limité.
• Autrement dit, il ne faut pas se priver des bienfaits des arbres « classiques » aux larges feuilles des zones tempérées, tels que les érables et les chênes. On choisira l’essence la mieux adaptée à sa fonction et on diversifiera le type de plantation.
Le rôle de l’eau
• Lorsque la quantité d’eau transpirée par une plante est supérieure à la quantité qu’elle absorbe, on parle de stress hydrique. Si un arbre est privé d’une ressource en eau suffisante, il ne peut plus effectuer correctement la photosynthèse ni refaire ses réserves pour l’année suivante.
• Affaibli, ses défenses immunitaires sont moins efficaces contre les ravageurs notamment. Il risque ainsi de dépérir, voire de mourir, même plusieurs années plus tard. L’arrosage des arbres, notamment les jeunes plantations, est donc primordial pour garantir leur survie et bénéficier de leurs bienfaits.
